Je viens de rentrer de la soirée la plus mémorable de ma vie. Pas la plus intense, pas la plus belle, pas la plus folle (quoique). Elle est celle qui sépare avant et après.

Avant la fin de la prépa. Après.

Sur mon lit de mort, je dirai "Je me souviens de la soirée où je suis devenue libre, la soirée qui a marqué la fin de la khâgne, après des semaines et des semaines de travail ininterrompu."
Celle où j'ai hurlé/dansé/pleuré de rire, de joie, de libération/retrouvé mes capacités exponentielles d'ouverture aux autres.

La nuit de la Vie.