L'Oryctérope (ou la Fin de Panne ?)
Par Kalleidoscope, vendredi 30 novembre 2007 à 17:45 :: Blog
Sur un quai de gare, sur un pont, dans un Mc Do, dans un lit, au milieu d’un parc il y a certaines choses qui sont tellement étranges, qui marquent, d’une marque profonde et pourtant suave, plein de nostalgie et de regrets…
Dans un monde parfait [doit-on vraiment mettre le conditionnel, si on voudrait désespérément y mettre un futur ?], il n’y aurait pas de moments comme cela, car on serait sublimé sans arrêt, sans penser à conclure, à vivre les choses sans réfléchir, avec à ses côtés de quoi tenir pour une éternité.
Dans un monde parfait, l’Océan du Désir serait infini, le Continent de la Passion l’entourerait avec frénésie [un océan infini entouré d’un continent ? Un monde parfait n’existe pas, vous le savez bien, ne nous soucions pas de réalisme !].
Dans un monde parfait, les pigeons ne balanceraient pas leurs ailes au visage des passants, les merdes de chien ne se glisseraient sous les pieds [même si sous le pied droit, ça peut aller…]
Dans un monde parfait, les blogs n’existeraient sans doute pas, puisqu’on se dirait les choses directement, sans hésiter, sans penser à utiliser une représentation de soit écrite et distante.
Mais à attendre ce monde parfait, on laisserait presque passer le monde réel qui vaut pourtant la peine qu’on la vive pour elle-même, quand bien même elle soit assez sombre.
« Les passionnés soulèvent le monde quand les sceptiques le laissent tomber »
Morale ?
Ce blog était en panne, à croire que son auteur est dans ce monde parfait. Je me suis permis de l’animer un peu de mon aigre humour… Et je ne me suis pas présenté, Nicolas, alias Coquette ou d’autres sobriquets étranges et mystérieux ! Un Jauressien, parmi d’autres… (ou pas… j’espère !) qui est en manque de son blog favori (ou tout du moins le plus tarabiscoté... si c'est français ?)
Dans un monde parfait [doit-on vraiment mettre le conditionnel, si on voudrait désespérément y mettre un futur ?], il n’y aurait pas de moments comme cela, car on serait sublimé sans arrêt, sans penser à conclure, à vivre les choses sans réfléchir, avec à ses côtés de quoi tenir pour une éternité.
Dans un monde parfait, l’Océan du Désir serait infini, le Continent de la Passion l’entourerait avec frénésie [un océan infini entouré d’un continent ? Un monde parfait n’existe pas, vous le savez bien, ne nous soucions pas de réalisme !].
Dans un monde parfait, les pigeons ne balanceraient pas leurs ailes au visage des passants, les merdes de chien ne se glisseraient sous les pieds [même si sous le pied droit, ça peut aller…]
Dans un monde parfait, les blogs n’existeraient sans doute pas, puisqu’on se dirait les choses directement, sans hésiter, sans penser à utiliser une représentation de soit écrite et distante.
Mais à attendre ce monde parfait, on laisserait presque passer le monde réel qui vaut pourtant la peine qu’on la vive pour elle-même, quand bien même elle soit assez sombre.
« Les passionnés soulèvent le monde quand les sceptiques le laissent tomber »
Morale ?
Ce blog était en panne, à croire que son auteur est dans ce monde parfait. Je me suis permis de l’animer un peu de mon aigre humour… Et je ne me suis pas présenté, Nicolas, alias Coquette ou d’autres sobriquets étranges et mystérieux ! Un Jauressien, parmi d’autres… (ou pas… j’espère !) qui est en manque de son blog favori (ou tout du moins le plus tarabiscoté... si c'est français ?)
Commentaires
1. Le samedi 1 décembre 2007 à 00:34, par Kalleidoscope
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