Je crois de plus en plus au pouvoir de la parole. Les mots ne me font plus si peur, je n'ai plus cette paralysie intellectuelle qui m'empêchait d'exprimer ce que je ressens. Envolée, la barrière mentale.
Et pour le mieux.

Par exemple : L'an prochain, avec les filles, on a un projet et euhgfmghfgh il se pourrait que euh hum grmpfghum j'habite plus ici l'an prochain.
Ou plus tard dans la soirée : Tu sais que j't'aime ?

Et celle à qui je dois ça se reconnaîtra.