lundi 20 février 2006
20/02/2006
18:51
Par Kalleidoscope
Blog
From Paris to Normandie
2 semaines de vacances, elles n'étaient pas de trop. Ni pour s'amuser, ni pour travailler, ni pour dormir (de temps en temps).
Ce n'est pas pour ce que je travaille (ma prépa est une prépa de glandeurs certifiée conforme aux normes de la flemme organisée), mais pour la énième fois : qu'est-ce-que c'est impossible de se réveiller à 6 heures du matin. Surtout que la dernière semaine de cours s'est faite sans la compagnie de Fabien le matin, parce qu'il était en voyage de classe. Alors vu ma motivation débordante, j'attendais ces vacances avec impatience.
Entre l'anniv' d'Iza, la nuit que j'assume presque (ou pas) dans une boite de nuit branchée, et la soirée Charlie et la Chocolaterie, la première semaine était celle du défoulement.
La deuzième semaine était plutôt celle du repos chez mes grands-parents, apaisement et travail au calme.
Après un DS de lettres le samedi des vacances (le samedi des vacances !), les vacances ont commencé par une après-midi entière au Malongo avec Elsa, encore plus fatiguée que moi. Elles se sont finies par une dimanche entier consacré à la révision de mon concours blanc d'histoire, celui de ce matin, après moins de 4 heures de sommeil.
Je ne me suis rien épargné, aucun repos la première semaine : déjeuner chez Iza le dimanche midi, manif le mardi jusqu'à la fin du parcours, le lendemain à midi à JJ pour bosser un peu l'histoire, le soir même à 23h à la soirée du BDE de Scpo jusqu'à 5h du mat', le vendredi de nouveau à JJ à midi, samedi soir aux 20 ans d'Iza, et le dimanche soir chez Coline pour une soirée Charlie et la Chocolaterie, alors que je devais être chez moi le lendemain midi, et repartir aussitôt en train pour Caen.
Je me demande parfois si je suis née avec un gène Duracell. Enfin, je reste loin de mon record de l'an dernier (et encore heureux). Et puis ça valait la peine de faire ces efforts, pour voir Iza, Anète, Lorane, Skou, Coline, Elsa et Charlotte.
La deuzième semaine, elle, était celle du sommeil. Des nuits de 10h presque chaque fois, malgré les +/- cauchemars, parce qu'il fallait ça pour recharger les batteries.
C'était un peu une coupure du monde aussi, qui était nécessaire, parce qu'il faut bien avouer que mes grands-parents habitent un trou paumé sur le littoral normand. Redevenir calme et tranquille dans cette maison familière. J'étais avec ma mère et mes grands-parents, et accessoirement avec mes polys d'histoire. Sans l'ordinateur ni le portable (ou presque), dont j'avais oublié le chargeur à la maison, j'ai travaillé avec une efficacité assez redoutable. En 3 jours, j'ai fait un travail qui m'aurait demandé une semaine entière ici.
Et puis revoir avec des yeux nouveaux cette plage un peu trop arpentée de long en large. Peut-être avec les yeux de celle qui a tellement besoin de calme, qu'elle redécouvre la mer comme un tranquillisant. En plus, c'est la première fois que je voyais une telle lumière à cet endroit. J'ai maudit les piles de mon appareil photo sur 15478 générations.
Si j'avais à résumer ces 2 semaines, ce serait par l'ouïe et la vue : les décibels à fond dans les oreilles toute la semaine, les lumières des projecteurs et celles de Paris. Les semaines du corps aussi : corps qui se fond dans la musique, et corps qui se régénère avant de toucher à ses limites (m'évanouir une fois l'an dernier m'a suffi).
C'étaient de bonnes vacances.
Et sinon, j'ai acheté de nouvelles piles rechargeables pour mon appareil photo, qui refusait de marcher plus de 2 minutes d'affilée depuis décembre. J'ai retrouvé le prolongement naturel de ma main. Voilà, je sais tout le monde s'en fout, sauf moi, mais c'est mon blog. Hinhin.
[ Bande Son ] (chanson qui donne envie de se nonner, mais le clip est le meilleur clip du monde, mieux que Lorie et Chimène Badi réunies)
----
[Edit] Je mets les paroles de cette chanson, cette oeuvre littéraire le mérite bien. Et je me répète : le clip est génialement kitsch.
Stacie Orrico, Stuck
I can't get out of bed today
Or get you off my mind
I just can't seem to find a way
To leave the love behind
I ain't trippin
I'm just missing you
You know what I'm saying
You know what I mean
You kept me hanging from a string
Why you make me cry ?
I tried to give you everything
But you just gave me lies
Every now and then
When I'm all alone
I be wishing you would call me on the telephone
Say you want me back
But you never do
I feel like such a fool
There's nothing I can do..
I'm such a fool
For you
I can't take it
What am I waiting for ?
My heart's still breaking
I miss you even more
And I can't fake it
The way I could before
I hate you but I love you
I can't stop thinking of you
It's true
I'm stuck on you
Now love's a broken record that's
Been skipping in my head
I keep singing yesterday
Why we got to play these games we play ?
Every now and then
When I'm all alone
I be wishing you would call me on the telephone
Say you want me back
But you never do
I feel like such a fool
Ce n'est pas pour ce que je travaille (ma prépa est une prépa de glandeurs certifiée conforme aux normes de la flemme organisée), mais pour la énième fois : qu'est-ce-que c'est impossible de se réveiller à 6 heures du matin. Surtout que la dernière semaine de cours s'est faite sans la compagnie de Fabien le matin, parce qu'il était en voyage de classe. Alors vu ma motivation débordante, j'attendais ces vacances avec impatience.
Entre l'anniv' d'Iza, la nuit que j'assume presque (ou pas) dans une boite de nuit branchée, et la soirée Charlie et la Chocolaterie, la première semaine était celle du défoulement.
La deuzième semaine était plutôt celle du repos chez mes grands-parents, apaisement et travail au calme.
Après un DS de lettres le samedi des vacances (le samedi des vacances !), les vacances ont commencé par une après-midi entière au Malongo avec Elsa, encore plus fatiguée que moi. Elles se sont finies par une dimanche entier consacré à la révision de mon concours blanc d'histoire, celui de ce matin, après moins de 4 heures de sommeil.
Je ne me suis rien épargné, aucun repos la première semaine : déjeuner chez Iza le dimanche midi, manif le mardi jusqu'à la fin du parcours, le lendemain à midi à JJ pour bosser un peu l'histoire, le soir même à 23h à la soirée du BDE de Scpo jusqu'à 5h du mat', le vendredi de nouveau à JJ à midi, samedi soir aux 20 ans d'Iza, et le dimanche soir chez Coline pour une soirée Charlie et la Chocolaterie, alors que je devais être chez moi le lendemain midi, et repartir aussitôt en train pour Caen.
Je me demande parfois si je suis née avec un gène Duracell. Enfin, je reste loin de mon record de l'an dernier (et encore heureux). Et puis ça valait la peine de faire ces efforts, pour voir Iza, Anète, Lorane, Skou, Coline, Elsa et Charlotte.
La deuzième semaine, elle, était celle du sommeil. Des nuits de 10h presque chaque fois, malgré les +/- cauchemars, parce qu'il fallait ça pour recharger les batteries.
C'était un peu une coupure du monde aussi, qui était nécessaire, parce qu'il faut bien avouer que mes grands-parents habitent un trou paumé sur le littoral normand. Redevenir calme et tranquille dans cette maison familière. J'étais avec ma mère et mes grands-parents, et accessoirement avec mes polys d'histoire. Sans l'ordinateur ni le portable (ou presque), dont j'avais oublié le chargeur à la maison, j'ai travaillé avec une efficacité assez redoutable. En 3 jours, j'ai fait un travail qui m'aurait demandé une semaine entière ici.
Et puis revoir avec des yeux nouveaux cette plage un peu trop arpentée de long en large. Peut-être avec les yeux de celle qui a tellement besoin de calme, qu'elle redécouvre la mer comme un tranquillisant. En plus, c'est la première fois que je voyais une telle lumière à cet endroit. J'ai maudit les piles de mon appareil photo sur 15478 générations.
Si j'avais à résumer ces 2 semaines, ce serait par l'ouïe et la vue : les décibels à fond dans les oreilles toute la semaine, les lumières des projecteurs et celles de Paris. Les semaines du corps aussi : corps qui se fond dans la musique, et corps qui se régénère avant de toucher à ses limites (m'évanouir une fois l'an dernier m'a suffi).
C'étaient de bonnes vacances.
Et sinon, j'ai acheté de nouvelles piles rechargeables pour mon appareil photo, qui refusait de marcher plus de 2 minutes d'affilée depuis décembre. J'ai retrouvé le prolongement naturel de ma main. Voilà, je sais tout le monde s'en fout, sauf moi, mais c'est mon blog. Hinhin.
[ Bande Son ] (chanson qui donne envie de se nonner, mais le clip est le meilleur clip du monde, mieux que Lorie et Chimène Badi réunies)
----
[Edit] Je mets les paroles de cette chanson, cette oeuvre littéraire le mérite bien. Et je me répète : le clip est génialement kitsch.
Stacie Orrico, Stuck
I can't get out of bed today
Or get you off my mind
I just can't seem to find a way
To leave the love behind
I ain't trippin
I'm just missing you
You know what I'm saying
You know what I mean
You kept me hanging from a string
Why you make me cry ?
I tried to give you everything
But you just gave me lies
Every now and then
When I'm all alone
I be wishing you would call me on the telephone
Say you want me back
But you never do
I feel like such a fool
There's nothing I can do..
I'm such a fool
For you
I can't take it
What am I waiting for ?
My heart's still breaking
I miss you even more
And I can't fake it
The way I could before
I hate you but I love you
I can't stop thinking of you
It's true
I'm stuck on you
Now love's a broken record that's
Been skipping in my head
I keep singing yesterday
Why we got to play these games we play ?
Every now and then
When I'm all alone
I be wishing you would call me on the telephone
Say you want me back
But you never do
I feel like such a fool