Am.. quoi ?
Par Kalleidoscope, samedi 19 mai 2007 à 02:50 :: Blog
Par où commencer ? Je n'ai pas souvent été amoureuse, et ma seule relation qui a bien marché plus de 4 semaines d'affilée remonte à.. 2002. C'est moi qui y ai mis fin, parce que je n'étais plus amoureuse et m'ennuyais (sic). Comme c'est beau d'avoir 15 ans et croire que le monde n'attend qu'une chose : être à vos pieds.
Les années qui ont suivi furent une magnifique preuve du contraire : amour, am.. quoi ?
Il y eut l'âge d'or, où je n'avais pas à réfléchir, où les bons moments l'emportaient sur les mauvais, où la volonté d'être deux et la confiance nous portaient. Ca a duré un peu plus d'un an, malgré mes hésitations perpétuelles, qui n'étaient dues qu'à mes 15 ans.
Si la même histoire me retombait dessus maintenant, je n'hésiterais plus. Trop de lâcheté ces dernières années, trop de "oui, mais en fait non" de la part d'esprits déséquilibrés.
Alors que j'ai tellement besoin de constance.
J'aimerais parfois faire table rase des tsunamis et autres vaguelettes sentimentales, voire du calme plat, des cinq dernières années. Plus cela dure, et plus j'ai l'impression que cela ne finira jamais. Comme si j'avais vécu une belle histoire dans ma vie, et que tout était fini depuis.
Désolée d'avance à tous ceux que cela choquera, concernés ou non, mais le seul copain qui tenait la route (oui Cam', et malgré les pantoufles héhé) était Philippe.
Je ne réinvente pas le passé. Je ne le regrette pas non plus, car je sais avoir fait le bon choix en rompant avec lui. Simplement, depuis, je tombe de Charybde en Scylla.
Et depuis, chaque nouvelle fois, j'ai encore plus peur de me prendre un mur.
Ce n'est pas grave, après tout. La vie continue, car il le faut bien. Mon optimisme déconnecté du réel me dit qu'un jour, je vivrai quelque chose de beau et fort. Et puis, ce n'est pas comme s'il m'était arrivé un événement vraiment grave.
Il s'agit juste de se dire "un jour ça arrivera de nouveau", car c'est déjà arrivé une fois.
En attendant, les jours défilent. Je ne sais pas où est le bout de tout ça, ni comment faire comprendre que je peux être une copine très chouette (si on passe outre : mes fringues technicolor, mes cheveux en pétard, mon rire crispant, ma voix à la limite de l'ultra-son, mes onomatopées inventives, mes sautes d'humeur, etc.. héhé).
Je ne sais pas où est la clé, ni même si elle existe. Bien sûr qu'un jour, ça sera mon coeur, mon amour. Il y a juste une étape que mon imagination n'a pas jugé utile d'élaborer : comment on fait ?
Peut-être qu'à force d'être poussé comme ça dans la nuit, on doit finir tout de même par aboutir quelque part, comme disait l'autre, Louis-Ferdinand de son prénom.
Peut-être. Peut-être aussi que ce "quelque part" est celui de Robinson.
Dans ce cas, tout va bien, car c'est déjà prévu.
Les années qui ont suivi furent une magnifique preuve du contraire : amour, am.. quoi ?
Il y eut l'âge d'or, où je n'avais pas à réfléchir, où les bons moments l'emportaient sur les mauvais, où la volonté d'être deux et la confiance nous portaient. Ca a duré un peu plus d'un an, malgré mes hésitations perpétuelles, qui n'étaient dues qu'à mes 15 ans.
Si la même histoire me retombait dessus maintenant, je n'hésiterais plus. Trop de lâcheté ces dernières années, trop de "oui, mais en fait non" de la part d'esprits déséquilibrés.
Alors que j'ai tellement besoin de constance.
J'aimerais parfois faire table rase des tsunamis et autres vaguelettes sentimentales, voire du calme plat, des cinq dernières années. Plus cela dure, et plus j'ai l'impression que cela ne finira jamais. Comme si j'avais vécu une belle histoire dans ma vie, et que tout était fini depuis.
Désolée d'avance à tous ceux que cela choquera, concernés ou non, mais le seul copain qui tenait la route (oui Cam', et malgré les pantoufles héhé) était Philippe.
Je ne réinvente pas le passé. Je ne le regrette pas non plus, car je sais avoir fait le bon choix en rompant avec lui. Simplement, depuis, je tombe de Charybde en Scylla.
Et depuis, chaque nouvelle fois, j'ai encore plus peur de me prendre un mur.
Ce n'est pas grave, après tout. La vie continue, car il le faut bien. Mon optimisme déconnecté du réel me dit qu'un jour, je vivrai quelque chose de beau et fort. Et puis, ce n'est pas comme s'il m'était arrivé un événement vraiment grave.
Il s'agit juste de se dire "un jour ça arrivera de nouveau", car c'est déjà arrivé une fois.
En attendant, les jours défilent. Je ne sais pas où est le bout de tout ça, ni comment faire comprendre que je peux être une copine très chouette (si on passe outre : mes fringues technicolor, mes cheveux en pétard, mon rire crispant, ma voix à la limite de l'ultra-son, mes onomatopées inventives, mes sautes d'humeur, etc.. héhé).
Je ne sais pas où est la clé, ni même si elle existe. Bien sûr qu'un jour, ça sera mon coeur, mon amour. Il y a juste une étape que mon imagination n'a pas jugé utile d'élaborer : comment on fait ?
Peut-être qu'à force d'être poussé comme ça dans la nuit, on doit finir tout de même par aboutir quelque part, comme disait l'autre, Louis-Ferdinand de son prénom.
Peut-être. Peut-être aussi que ce "quelque part" est celui de Robinson.
Dans ce cas, tout va bien, car c'est déjà prévu.
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